Une simple étincelle peut démarrer l'Enfer sur terre. [En cours]

Le physique est ce qui paraît le plus simple.

Tout d’abord, ses cheveux sont de couleur noire et mi-long, ils sont la plupart du temps ébouriffé sans pour autant être en pétard : un désordre ordonné. Il a la peau assez pâle, ce qui fait contraste avec la couleur de ses cheveux mais aussi avec la couleur de ses yeux, qui sont d’un vert profond. Pour le reste il n’a pas des piercings, est bien rasé et arbore assez souvent un sourire en coin. Il est ce qu’on pourrait appelé un beau garçon, c’est d’ailleurs l’une des raisons pour laquelle il a décidé de se faire appeler Flambeur. Il a cependant sous l’œil droit une petite cicatrice.

Puis passons à son allure, il est plutôt grand, il mesure aux alentours d’1m85 et a un carrure de monsieur tout le monde, il n’est pas du genre bodybuildeur mais tout de même athlétique. Pour ce qui est de son code vestimentaire, vous ne le verrez pas souvent habiller d’autre chose que de couleurs sombres. Il est la plupart du temps vêtu d’un T-shirt à manches longues noir,d’un paire de chaussures de la même couleur et d’une paire de jeans un peu plus clair . Par dessus, il porte constamment une veste noire à capuche avec fourrure aux extrémités (donc le bas, le bout des manches et le contour de la capuche). De plus, peu importe sa tenue, il lui arrive de porter des lunettes de soleil à verres mauves.

Pour ce qui est de son corps sans vêtements, rien de particuliers à dire. Il ne possède aucun tatouage  parce qu’il n’en souhaite pas et a quelques cicatrices et brûlures mineures qui sont principalement dues au crash de l’avion. Mais comme on dit souvent, l’habit ne fait pas le moine, le loup arrive parfois à passer inaperçu au sein du troupeau.

La psychologie est un peu plus compliquée mais on devrait y arriver.

Pour commencer, Flambeur est une personne plutôt calme, s’il n’avait pas fait les choix qui l’ont mené en prison, il aurait sûrement eu une vie normale, avec un boulot normal, une copine normale et un appartement normal. C’est cette normalité qui ne l’intéressait pas du tout, il est opposé à la plupart des normes de la société, c’est ce qui lui a valu l’étiquette d’anarchiste.

Il semble constamment avoir au bout des lèvres un sourire en coin, ce qui peut nous faire nous demander s’il ne s’amuse pas tout simplement de tout ce qui l’entoure même lorsque que la situation ne se prête pas à la rigolade. On pourrait difficilement répondre à cette question puisque même en gardant le sourire aux lèvres, il arrive à agir de manière réfléchie et souvent très stratégique, comme si tout n’était qu’un jeu. Il est plutôt habile avec les mots et n’a généralement pas trop de soucis pour mentir ou d’induire les autres en erreur bien qu’il ne soit pas friand de ce genre de manipulation.
Lukas porte le surnom de Flambeur pour plusieurs raisons, premièrement parce qu’il est pyromane et aime lorsque tout part en fumée, ensuite parce qu’il est passionné par ce qu’il fait de la même manière qu’un parieur l’est par son possible gain, et enfin parce qu’il aime séduire que ce soit pour s’attirer des faveurs ou simplement par intérêt envers la personne.

Pour ce qui de sa manière d’être avec les autres, il ne cherche pas leur approbation et reste donc lui-même. Il a cependant énormément de respect envers Kraven et Ashe par rapport à la manière dont ils tiennent les rennes des Blood Red Dogs et se complet dans son rôle de Beta de la meute puisque cela lui permet de les aider sans pour autant avoir de trop grosses responsabilités: devoir briser les genoux de quelqu'un qui n'a pas était respectueux n'a jamais était trop compliqué et en brûler un vif pour l'exemple est parfaitement dans ses cordes. Et pour ce qui est des assauts policiers, les champs de ruines se prêtent parfaitement aux embuscades et autres pièges incendiaires.

Finalement, on peut dire que Lukas a un goût prononcé pour les sucreries et un intérêt particuliers pour les jeux-vidéos.

Interrogatoire du détenu Sutherland :
Je ne comprends toujours pas pourquoi vous voulez que je vous raconte ma vie mais je n’ai rien d’autre à faire donc je veux bien me prêter au jeux.

Pour commencer, je ne vais pas vous parler de ma famille, il n’y a rien de particuliers à dire dessus : deux parents et deux petites sœurs, c’est tout ce que vous avez à savoir et si vous en voulez plus, vous n’avez qu’à chercher ces informations dans mon dossier.

Enfin, revenons-en à moi, mon enfance a été heureuse, j’ai fait de bonnes études et j’aurais pu faire de grandes choses de ma vie,  mais je ne serais pas ici à vous parler si jamais ça s’était passé comme ça. Qu’est-ce qui m’a poussé à agir de la sorte ? Je ne sais pas : l’ennui, l’impression de tourner en rond… Enfin, tout ça pour dire qu’un beau jour, en rentrant chez moi, j’ai fait un détour par la station service et ai acheté un jerrican d’essence avant de me diriger vers un vieux bâtiment en ruines. Y mettre le feu a été un tournant dans ma vie, j’ai découvert la soif de l’interdit mais aussi de la destruction et de cette soif est née une envie de changer la face du monde : moi qui venait d’une famille normale, j’allais redessiné la face du monde avec des flammes pour… Pour… Je ne me souviens plus du tout de l’excuse bidon que je m’étais donné à l’époque pour me donner bonne conscience, on va pas se mentir, je l’ai fait et je le referais si je sors d’ici un jour parce que j’en avais envie, et quand les bâtiments vides n’ont plus suffit, j’ai commencé à m’attaquer à des bâtiments où il y avait de la vie.

C’est là que la meilleure partie commence, je n’ai jamais choisi une cible au hasard, il y avait toujours une raison particulière au fait que je veuille détruire le bâtiment et les gens qui y étaient, soit il s’agissait de personnes qui s’enrichissaient sur le dos des plus pauvres mais qui, face aux caméras, demandaient à ce que l’on partage avec son prochain ou encore des hommes politiques qui voyaient leurs intérêts avant ceux des personnes qui les avaient élus et parfois juste parce que les personnes qui y vivaient m’avaient mal parlé. Oui je sais ce que vous allez dire, c’est immature de brûler quelqu’un juste parce qu’il vous a regardé de travers, mais à ça je vous répondrais : regardez où je suis, certaines personnes ont tué juste parce qu’elle en avait envie… Moi, j’en avais envie mais je trouvais un raison valable pour le faire. Et c’est comme ça que ma vie de fugitif a commencé, j’avais dû faire brûler des personnes trop importantes puisque j’étais catégorisé comme très dangereux et que le moindre renseignement me concernant devait à tout pris être remis aux autorités… Le soucis pour les autorités, c’est que je ressemblais à n’importe qui, à part mes yeux qui sont un détail assez remarquable, je me fondais plutôt bien dans la foule et j’aurais très bien pu continuer comme ça pendant longtemps puisqu’il n’y avait aucune image pouvant clairement m’incriminer, les médias me nommaient "l’Incendiaire" et les seuls images présentées avec les fait divers me concernant n’étaient que des clichés ou des vidéos de mes œuvres. Comment je faisais pour agir de la sorte sans jamais me faire avoir? Je préparais mes coups à l'avance et saisissais la moindre des opportunités: s'il y avait des travaux sur le réseau électrique, un ouvrier était retrouvé plus tard dans une benne à ordures avec une belle bosse sur la tête; si une réception mondaine était donnée, je me faisais engager en tant que serveur. C'est comme ça que j'agissais, j'attaquais de l’intérieur. Bon je vais pas vous mentir, j'ai dû abandonné certains coups à cause d'une sécurité à toute épreuve mais la plupart du temps, je trouvais toujours une petite faille: le monde entier a des faiblesses. Si moi j'en ai? Attendez, j'y viens.

Mais comme tout, les bonnes chose ont une fin et moi, c’est mon fraternel qui a causé ma perte. J’avais prévu un gros coup, quelque chose qui allait marqué l’histoire. Mais, il y a eu un imprévu, l’une de mes sœurs s’apprêtait à entrer dans un des bâtiments qui était censé flamber la minute d’après. Il était hors de question pour moi que ma sœur souffre à cause de moi, enfin mes deux sœurs doivent souffrir à cause de moi maintenant, après tout elles sont liées à un tueur et ce genre de réputation ça doit vous ronger. Enfin bref, revenons-en au jour de mon arrestation, je me suis rué sur ma sœur pour la dissuader de rentrer mais malheureusement pour moi, l’un des gardes du bâtiment a été intrigué par ce que je venais de dire à ma sœur et s’est rapproché pour m’interroger mais il préférait me plaquer au sol au moment de la première explosion. C’était vraiment un coup de malchance, tout avait été préparé comme du papier à musique et pourtant mon plan avait échoué et je me retrouvais plaqué au sol avec un type m’insultant de tout les noms et me faisant comprendre que j’allais passé le reste ma vie en prison. Mais je ne regrette pas pour autant, j’ai sauvé ma sœur et si c’était à refaire, je le referais, je me tiendrais juste prêt à riposter contre le garde qui m’a chargé.

Et me voila, je n’ai pas fait la une des journaux quand on m’a arrêté ou lorsque j’ai reçu ma sentence, on a juste dit que "l’Incendiaire" avait été mis sous les verrous. Et maintenant, je suis ici depuis trois ans je crois, je vais pas vous dire que la liberté ne me manque pas mais ça reste vivable. Et demain, on nous fait changer de prison, ça me fera du bien de changer d’air.
Fin d’Interrogatoire.

Première Entrée du Journal :
L’avion qui devait nous emmener dans une nouvelle prison s’est crashé en plein dans Avalon, dans le quartier de Plissken Church. La plupart des bâtiments ont été détruit et comme si c’était pas assez, les forces de l’ordre menaient des assauts contre nous alors qu’on était encore en train de s’entre-tuer. La situation a changé quand Kraven, un autre ancien détenu a décidé de former une sorte de groupe ouvert à tous pour que l’on puisse agir à l’unisson contre les assauts des forces de l’ordre. J’ai rejoint le groupe de Kraven sans trop d’hésitation, il était évident que les personnes isolées ne feraient pas long feu, et quitte à vivre avec les pires détraqués du monde, autant être leur allié. Les Blood Red Dogs, oui c’est le nom de notre groupe, sont gérés par deux personnes : Kraven, celui qui en a eu l’idée et Ashe, une ancienne gardienne et en dessous d’eux, en guise de sous-chefs : il y a Blitzkrieg et moi… Pourquoi j’ai été nommé second ? J’en sais absolument rien, j’ai dû faire mes preuves comme Blitz’ et je vais pas m’en plaindre… Être second a certes des contraintes, mais ça a pas mal de privilèges, on a notre mot à dire sur certaines choses. Je sais que certains aimeraient prendre la place de Kraven ou bien la mort de Ashe, mais je n’en fait pas parti parce que je les respecte tout les deux et que je pense pas que je ferais mieux à leur place…
Fin de l’Entrée