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« Les enfants des ténèbres et les anges de la rue ; t'apprendront tout ce que tu n'as jamais su »
 
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 Rider B débarque

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Rider B
Rider B
Bandersnatchs
Combattant
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MessageSujet: Rider B débarque   Rider B débarque EmptyDim 13 Jan - 0:58

Pseudo

✗ Véritable identité : Joachim Fuchs
✗ Surnom : Rider B
✗ Sexe : Masculin
✗  Age : 20 ans
✗ Groupe & Rang : Bandersnatch - Combattant et mécano
✗ Avatar utilisé : OC par Korakos

✗ Particularités :
Depuis qu’il a quitté la maison de ses parents il a passé deux mois sans blessures. Mais pas d’affilé…

Tête brûlée, il aborde tout le monde avec un tact qui lui est propre sauf le chef du groupe, le patron du garage et certaines jeunes demoiselles.

Sa moto est un modèle unique, dérivée de l'un des modèles luxueux de Yamaha par ses soins.

❝ Ma boisson préférée ? Le cocktail Molotov ! ❞


Physique



“Une grande gueule se doit d’être posée sur un visage à la hauteur.”

Entre ma barbe de trois jours et mes cheveux bruns un peu trop longs et négligés, je mise tout sur le côté brun ténébreux. Paraît que les filles apprécient… Non en fait c’est prouvé : les demoiselles craquent ! D’autant qu’à cela il faut ajouter un regard mystérieux interprété par mes amis comme une forme de politesse et par le reste du monde comme distant. Ou bien peut-être est-il charmeur ? Pratique dans toutes les situations je te dis ! Note toutefois que je maîtrise aussi avec un certain talent le regard noir et menaçant. Ajoute à cela un demi-sourire dans les moments les plus inattendus et tu obtiens la solution idéale pour perturber n’importe qui d’un tant soit peu influençable.

Bien que je mette un point d’honneur à soigner mon apparence, je dois bien admettre que les quelques coups que j’ai pris tout au long de ma superbe vie dans ce petit paradis m’ont laissé quelques cicatrices un peu partout. Bras, jambes, torse et même dans le dos. Mon corps entier en a déjà pris pour son grade plus d’une fois. Heureusement que mon nez n’est pas tordu !
A force de dévaler dans les rues, de transporter des bidons et des pneus, ça finit par payer : mon mètre quatre-vingts se marie parfaitement avec ma stature athlétique avec, depuis quelques temps, des muscles secs qui se sont dessinés sous ma peau couverte de bleus. Paraîtrait que les combats de rue laissent des séquelles… Enfin je vais pas me plaindre, je m’en sors bien ! Et puis les bandages et les cicatrices ça renforce le côté bad boy.

Le visage et l’attitude ne font pas tout n’est-ce pas ? Il faut dégager quelque chose en plus ! Et ça commence par ce qui se voit de loin : le code vestimentaire c’est primordial : il doit être très simple et strict : un treillis militaire, un sweat ou un T-shirt sombre avec au dos un logo bien tranché et une paire de Dr. Martens noires. Enfin ça c’est pour le quotidien. D’autant que je porte surtout un bleu de travail quand je bosse… C’est tout de suite moins classe pas vrai ? Mais franchement, c’est pas tellement un soucis : je réserve la tenue des grands jours aux occasions qui en valent la peine à savoir : les sorties nocturnes. Tout l’art d’être reconnu sans être identifiable. Un jeu auquel je me prête volontiers : veste de cuir et casque de motard customisé : noir avec un symbole de crâne sur la visière. Une fois équipé je traverse les avenues à pleine vitesse avec une barre à mine ou une batte à la main le tout en chevauchant un bolide rouge vif.
Une véritable machine de guerre, une bête indomptable qui démarre au quart de tour : deux grandes roues, une carrosserie écarlate et un modèle profilé. Un engin pareil ça vaut une fortune : ne me demandez pas comment j’ai pu me payer ça. Enfin si demandez-le pour voir.
Je n’ai pas dépensé un rond !
Toujours est-il que cette moto fait son petit effet : quand dans le noir total vous verrez apparaître la lumière éblouissante du phare, que le rugissement du moteur tranchera le silence nocturne et qu’une fraction de seconde plus tard vous ne verrez plus qu’un B pourpre s’éloigner vous comprendrez...




Caractère


“La boxe est un sport noble, de gentleman et avec des règles strictes. Heureusement que je ne suis pas boxeur.”

Je te vois venir. J’ai l’air d’un type arrogant, bête et méchant, qui ne pense qu’à humilier les autres pour se mettre en avant. C’est bien ça ?

C’est que je fais bien mon boulot... Faut pas se laisser faire chez moi ! Avoir du répondant, ne pas hésiter à rendre les coups et les insultes c’est plus subtil que ce que tu ne le crois. Pas assez et tu deviens un martyr, trop et tu vas t’attirer les foudres des petites frappes. On tape aussi sur le clou qui dépasse.
Le respect ça se gagne, ça se prend, ça s’arrache. Il y en aura pas assez pour tout le monde. Chez moi le respect, c’est ce qui prime. Je te partagerais du mien si tu le mérites mais par contre, si ce n’est pas le cas, prends garde ; je pourrais finir par venir te prendre ce qu’il te reste de dignité et d’en profiter pour te faire les poches. On vit comme on peut chez moi. Faudra t’y faire ou partir loin. Parce qu’on a tendance à être rancuniers aussi. Quiconque me provoque s’en mord les doigts, donc quand je te parle, tu baisses les yeux ou alors je te montre le sol…  de très près ! C’est au choix.


Même quand on est impulsif il faut parfois apprendre à ravaler sa fierté : à force de prendre des coups j’ai appris à les encaisser. A force de prendre des coups j’ai appris à les rendre. A force de prendre des coups j’ai appris à les donner en premier. Ca m’a fait chier. Ca m’a fait mal. Ca m’a pris du temps. Mais petit à petit je suis devenu meilleurs qu’eux. Au-dessus des petits citoyens modèles qui me font vomir. Ces hypocrites qui se pensent supérieurs mais qui ont jamais quitté les bancs de l’école, si ce n’est pour prendre la même place derrière un bureau. Rien que d’y penser j’ai envie d’en cogner un.


Bon. Tu l’auras compris : j’aime bien casser des trucs en tout genre, me la jouer rebelle et me battre mais pas par pur plaisir sadique. J’ai toujours trouvé ça ridicule les abrutis qui se présentent comme étant de dangereux malades mentaux. J’arrive pas à les imaginer autrement que comme des enfants qui essaient de se vanter de la seule chose qu’ils ont pu inventer pour se distinguer de la masse. Le jour où t’en verras un vrai, je te conseille de prendre tes distances. Il risque de ne pas prendre le temps de te faire un discours et un rire sardonique avant de te sauter à la gorge !
Enfin revenons-en au sujet du jour : moi ! On va plutôt dire que j’aime me défouler. Un combat ça se passe au moins à deux après tout : si je voulais taper sans raison je me contenterais du sac de frappe. Alors que quand tu fais un duel, tout est permis. Tu donnes tout ce que t’as dans le ventre et lui aussi. A la fin il y a un gagnant et un perdant mais c’est pas ça qui compte. C’est l’échange, comme une sorte de danse dans laquelle tu transmets toute ta rage. Il y en a qui aiment les échecs ou le football pour la compétition. Moi c’est plus viscéral, il y a pas de règle. Tu perds ou tu gagnes et surtout, t’essaies de survivre : tu protèges autant ta vie que ton honneur. Et sans ça tu perds ta crédibilité.
Au fait : dans le cas particulier où ton adversaire mérite ce qui lui arrive : oublie tout ce que je viens de dire : latte-lui la tronche et essaie d’y prendre du plaisir. Ca servira de leçon pour ceux qui voudraient l’imiter... De toutes façons il y a que trois choix dans la vie : la soumission, la domination ou la fuite. Et toi tu te bats ou tu décarre ?

Tu te bats ?! C’est un bon début : dominer ses peurs, c’est le second pas vers la réussite. La solitude, le noir et la vitesse. La boule au ventre quand tu te fais courser par des flics, le goût de ton sang dans ta bouche et le battement dans tes tempes. Tout ça tu dois les transformer. C’est pas de la peur ; c’est des shots de plaisir ! Quand tu sens l’adrénaline qui envahit la moindre parcelle de ton corps : il n’y a plus aucune barrière pour te retenir : tu peux éclater tout ce que tu veux : rien ne te résiste. Ni les flics, ni les alarmes ni la peur : tout est permis tant que tu t’en sors !


Faut pas sauter les étapes non plus : monte trop vite et tu te feras tacler rapidement. Il te faut un point faible, personne n’aime les gens parfaits. Par exemple : tout le monde me prend pour un débile. Et personne n’a peur d’être détrôné par un débile. Pourtant le jour ou t’as besoin d’un éclaireur, de réparer une moto ou bien de mettre un coup de batte dans les parties d’un type qui te les as brisées : tous les bons Bandersnatchs savent qu’ils peuvent compter sur moi. Alors c’est vrai que je suis pas le plus malin, mais t’inquiète j’ai la seule intelligence qui compte : celle de la rue.

~

Rider est un personnage audacieux et impulsif, voire même téméraire par moment. Il a le goût du risque et de l’aventure, c’est d’ailleurs la seule chose qui le sort d’un quotidien l’ayant transformé en insurgé désabusé. Son passé l’a rendu rancunier mais aussi violent envers ceux qui, à ses yeux, le méritent amplement. Conscient qu’il n’est pas le plus stratège ou le plus érudit, il se laisse souvent passer pour plus bête qu’il ne l’est vraiment. D’autant qu’être pris pour un imbécile a parfois ses petits avantages…

Il a perdu toute confiance en l’avenir promis pour les jeunes d’Avalon. Fier et persévérant, il a tout fait pour se libérer des chaines qui l'entravaient : famille, école, ... Selon lui il ne reste qu’une seule solution : tout reprendre à zéro. Ses actions au sein du gang n’ont pour but que la chute des puissants et du pouvoir en place, quitte à tomber dans l’anarchie. Pour survivre il lui a fallu être opportuniste : parfois, il y a des occasions à ne pas manquer …





Histoire



“Parti de rien, je suis arrivé nul part”

Je suis qu’un homme ordinaire. Un bon travail, une fiancée et … Ok ok personne n’y croit. C’est ce que j’aurais pu devenir si j’étais né ailleurs. Mais le fait est que j’ai grandi un peu à côté : pas de bol, en plein dans les plus beaux quartiers d’Avalon : le Keter District ! Un père alcoolique, une mère dépressive et un avenir aussi triste qu’un mur sans grafitti. Destiné à être un parmi les autre. Un gars qui trime dix heures par jour dans une usine en s’épuisant et qui boit une fois chez lui pour oublier qu’il n’a jamais aimé sa femme. La copie conforme de mon père ...
Petit je voulais quitter cet endroit. Devenir quelqu’un de différent des jeunes qui m’entouraient ; j’ai longtemps rêvé d’apporter l’abondance autour de moi et de mener une carrière extraordinaire : “La fabuleuse histoire d’un gamin des rues qui se sort de la misère”. Mais la réalité a vite rattrapé mes illusions. Ma famille, mes profs, mes potes : personne d’autres n’y croyait. J’étais seul dans un monde imaginaire où toute ma bonne volonté aurait suffit à atteindre n’importe quel objectif. Et maintenant ? Bah je suis toujours dans ce quartier, sans diplôme et sans gloire. A croire que répéter à quelqu’un qu’il va devenir un bon à rien le mène à suivre cette voie.

Un jour deux choix se sont présenté devant moi : vivre une vie de misère monotone, ou bien vivre une vie de misère avec de l’action. Quinze ans… J’avais quinze ans à l’époque où j’ai quitté mon foyer pourri et je suis parti errer sans trop savoir où aller. Salut papa, salut maman ! Ils étaient sûrement tristes…. Pourtant je suis persuadé qu’au moment même où ils ont lu mon dernier message, ils savaient que leur quotidien deviendrait plus simple malgré tout. Moi ? J’étais heureux les premières heures : je n’avais aucune conscience de ce que cela allait impliquer et quand bien même, j’en fichais royalement. C’était pas si compliqué la vie pas vrai ?

Seul j’errais dans les rues de Keter, j’avais pas un rond en poche. J’ai eu le réflexe que n’importe quel ado aurait eu : j’ai rejoint mes potes. Les premières semaines je squattais chez eux et on passait nos journées au skate-park, alternant entre les joints et les canettes de bière bon marché jusqu’à ce que je me fasse mettre dehors de tout mes refuges par des parents enragés… C’est à ce moment que j’ai compris que la vraie vie commençait avec son lot de difficulté : il fallait que je me mette à bosser et la seule chose qui m'ait vraiment intéressé à part les filles et les potes c’était la mécanique. Comme ni amant ni gars sûr ne sont des métiers, j’ai choisi d’apprendre à vivre de mon troisième hobby. Alors j’ai trouvé un taff sous payé chez un petit garagiste, le genre de mec triste qui fait ça pour survivre, sans aucune motivation. Je dormais derrière le garage et je gagnais à peine ma pitance mais lentement et sûrement le métier rentrait ; j’étais pas mauvais à ce petit jeu. J’ai appris à débrider des motos et trafiquer des moteurs en secret, quand le patron était parti et que je faisais semblant de fermer la boutique. Avec le recul je pense qu’il était au courant de la façon dont j’arrondissais les fins de mois...

C’est à ce moment-là que j’ai commencé à fréquenter les premiers membres des Bandersnatchs. C’est parti de rien, un petit service à gauche ou à droite contre des petits avantages. J’étais jeune, con et facilement influençable : ça me plaisait de vivre comme ça ! En journée je réparais des bagnoles et puis à la nuit tombée je faisais le tour du quartier avec mes nouveaux potes. On faisait des petites conneries… Au début… C’est vite devenu plus gros que ça : la partie immergée de l’iceberg ça te parles ? A l’époque je pensais juste que c’étaient des petits délinquants, de la racaille de quartier… Mais c’était plus que cela !
J’ai commencé par faire quelques échappées nocturnes avec eux : on allait zoner dans les coins les moins réputés. J’assistais à ces scènes qui finissaient dans les faits-divers : un échange qui tourne mal, des vols de scooters et de bagnoles ou des petits règlements de compte. Je me souviens du jour où ils m’ont considéré digne de confiance. J’ai fait un petit rite de passage : à savoir me battre avec un type de la bande. Confiant en mes capacités j’ai tenté de frapper le premier : le but c’était de les impressionner non ?

J’avais fait le bon choix… C’était la seule chose que j’avais pu faire : une fois mon coup de poing parti vers son nez j’ai du mal à me souvenir. Tout ce que je sais c’est qu’à la fin je me réveille en sale état avec une semelle de chaussure qui m’écrase la face comme dernière image en tête. Étonnamment j’y suis retourné une fois remis sur pied. J’avais compris une chose : s’il était difficile de se faire comprendre par l’art ou la diplomatie on pouvait toujours forcer les autres à nous écouter.

Il fallait faire mes preuves : une coup d’éclat. Quelque chose qui marquerait les esprits ainsi que mon entrée officielle dans le gang. Un truc que je mènerais moi-même, quelques soient les risques.

Après plusieurs jours de réflexion, j’ai trouvé ce que j’allais faire. Ils voulaient voir l’étendue de mes capacités ? Soit … J’allais leur en mettre plein la vue.

Cette semaine-là on la presse a signalé plus d’une vingtaine de vols de moto de luxe et de sport. Tous les quartiers bourgeois avaient été touchés. La cerise sur le gâteau : un engin laissé sans surveillance par des flicards. Ca c’était l’étape un : « piller ». Un petit fait-divers certes… Mais pour une personne seule ce n’était déjà pas si mal.

Mon plan ne s’arrêtait pas là ! J’ai passé les nuits suivantes à décarcasser les véhicules, prenant les meilleures pièces de chaque modèle pour fabriquer mon monstre de Frankenstein. Personne n’était au courant. Ni le chef, ni mon patron… Personne sauf moi. Je vais te passer les détails, mais c’est le jour où la cavalerie a sauvé les miches de l’ancien boss que pour la première fois j'ai été surnommé "Rider B".

Tout s’est accéléré pour moi à partir de ce moment là : chaque semaine je perdais moins de combats, les virées nocturnes prenaient de plus en plus d’importance et chaque soir on chouravait des voitures ou des scooters mais chaque matin quand le vieux venait faire l’ouverture tout était vendu. Je jouais parfaitement mon double-jeu ! Sourire même au plus désagréable client le jour et venir éclater son pare-brise le soir pour le voir revenir le lendemain. Fallait dire merci connard !

Au bout de deux ans j’avais accumulé un beau petit pécule grâce à mon activité secondaire : j’ai négocié pour avoir mon petit espace au-dessus du garage Ce vieux bonhomme a accepté de me vendre les pièces vétustes qui y étaient pour presque rien. Il m’appréciait je pense : après tout il m’a jamais balancé alors que je suis sûr qu’il est au courant de mes agissements. Faut dire que me voir arriver avec des nouvelles blessures chaque semaine a dû lui mettre la puce à l’oreille. Jamais il ne m’a posé la question. Jamais il ne m’a reproché de prendre du retard à cause de l’état désastreux de mes mains et jamais il ne s’est joué de moi. C’est une des rares personnes à qui je dois encore quelque chose...

Pendant plusieurs moi c’était la belle vie : trop bête que pour menacer de prendre une place, mais assez utile et menaçant que pour pas me faire piquer la mienne. On faisait parler de nous. On était libre ! On avait pas eu la chance d’avoir un futur radieux ? Tant pis ! On se satisferait de ce qu’on nous a donné : nouvelle famille, nouveaux potes, nouvel avenir. Mon chez moi, mon taf … Tout était parfait !

Cela aurait pu continuer comme cela pendant longtemps mais les flics ne l’entendaient pas de cette oreille. Ils se sont mis en tête de nous ramener sur le chemin de l’obéissance. Nous faire rentrer dans les rangs. Les policiers : des types détestables. Des gars comme nous mais qui se cachent derrière la loi. Ils se prennent pour des sauveurs, des gens honnêtes à qui les habitants doivent leur sécurité alors que ce sont les plus pourris d’entre tous. Et plus ils ne sont même pas capable d’attraper une bande de jeunes ? Pathétiques…
Je me plains, mais en même temps on savait que ça allait arriver ; on s’y est préparé depuis longtemps. Il faut ce qu’il faut pour se faire entendre. Cramer des voitures, saccager des magasins et reprendre le fric des riches c’est un bon début non ?




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MessageSujet: Re: Rider B débarque   Rider B débarque EmptyMar 15 Jan - 0:53

Hey !
Tout d'abord, bienvenue sur le forum !
Ensuite, le code du règlement était bon du coup je m'en suis emparé - et tu m'as prévenu pour l'avatar, je l'attend donc il n'y a pas de soucis.

Voyons voir ta fiche, maintenant !

A propos du caractère :
Comme je te l'avais dis, bien que le caractère soit bien écrit, il reste cependant très difficile à lister pour une présentation et fiche du personnage. Si tu pouvais au moins faire une liste d'adjectifs pour le qualifier, je pense que ça aiderait un peu... A part ça, rien à redire.

Concernant l'histoire :
Il est possible que j'ai zappé ce détail à cause de la fatigue mais, il me semble que tu n'indiques nulle part comment est-ce que Rider B a eu sa moto... Vol ? Achat ? Tunning ? Je te laisse me l'indiquer - ou me montrer le passage pour me prouver que c'était bien mes yeux fatigués.

A part ça, rien à redire ! Je te laisse revoir ces points et me tenir au courant de l'avancée des choses, et je repasserai voir ta fiche !
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MessageSujet: Re: Rider B débarque   Rider B débarque EmptyMer 16 Jan - 0:17

Alors, voyons ça.

Comme tu as apporté les modifications nécessaires, je ne vois pas d'autre raison de retarder ta validation; aussi, je te déclare désormais ET JUSQU'A LA FIN DES TEMPS... validé. Bon jeu parmi nous, en espérant que tu t'amuseras bien, et au plaisir de rp avec toi !

Je vais de ce pas t'ajouter aux recensements et te donner couleur et rang !
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MessageSujet: Re: Rider B débarque   Rider B débarque Empty

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