Chapitre 1 : My ChildhoodUne vie paisible, calme, normale. Rien à signaler tout allait bien. Papa et Maman étaient là avec moi. Une vie de civile rien des plus ordinaires. Mes parents s'étaient rendu à Avalon de part le message de paix que la ville véhiculait. Il voulait que leur fils, encore dans le ventre de sa mère, paré sous peu à la découverte du monde, évolue dans un environnement fiable, sans conflits et où la sécurité et l'harmonie coopère.
11/ 02/ 17 à 3h00 dans l'hôpital d'Avalon : Noham Stolh, garçon de 2.5kg, voyait le jour. Noham, prénom dont la signification représente l'espoir, tout chétif, ouvrait les yeux à ce monde nouveau, porté sur l'apaisement et l'entente.
Environnement : Mes parents d'origine Suédoise exerçaient le travail de professeurs de littérature dans un lycée. J'ai été bercé dès mon plus jeune âge par les livres, les contes, les mythologies, et les langues étrangères. Mon âme d'enfant a été forgé par toutes ces littératures, ces mondes fantastiques, venu de je ne sais où, de l'imaginaire, du cerveau humain, surpassant les limites et la réalité. Les livres m'ont construit, aidés, appris, et aussi sauvés...
Chapitre 2 : Des changements La vie évoluait à grand pas à Avalon. Des nouvelles découvertes ont surpris la population. Un calamar étrange était devenu le produit ''star'' du pays, les technologies avançaient à grand pas et envahissaient nos mode de vie. Je n'ai jamais aimé ces machines, ces robots, ses intelligences artificielles. Tout ces progrès ne m'ont jamais inspiré confiance. Je ne jurais que par les vrais informations que l'on trouvaient dans les bouquins. Il m'arrivait et il m'arrive quelque fois, d'utiliser un bon vieil ordinateur, avec Windows 7 pour effectuer quelque recherche sur Google Chrome. Je touchais à tout ce qui était rétro. La nouveauté me faisait peur et ne m'attirait nullement.
12/05/2027 : Papa et Maman m'avaient ramené une drôle de boisson gazeuse coloré comme les couleurs de l'arc en ciel. Âgé de 10 ans, cette liqueur bulleuse et flashy ne me donnait pas spécialement envie, mais je voulais comme même la tester, juste pour savoir le gout que cela avait. Je me rappelle en avoir beaucoup consommées par la suite dans ma jeunesse. Elles étaient si vives, si délicieuses et surtout il y avait de jolies couleurs.
Des rumeurs couraient que de jeunes adolescents semaient la pagaille. J'étais trop jeunes pour m'en soucier mais mes parents m'ont seulement avertit, à l'époque, de ne pas parler à ces jeunes, ne jamais leur laisser m'adresser la parole, ni même de croiser leur regard. La peur du monde extérieur commença a se développer. Depuis ces événements, je n'avais plus la possibilité ni le pouvoir de continuer une scolarité normale. J'étais déjà le vilain petit canard de ma classe, mais ma phobie avait fait de moi un enfant reclus, isolé socialement, constamment le nez dans les bouquins et les boissons gazeuses.
Papa et Maman eux aussi changeaient beaucoup. Ils se disputaient sans arrêt. Les médias les apeuraient également. Ils étaient toujours sous tension. De plus, la littérature n'intéressaient plus personnes. Les jeunes préféraient être dans la rue, se bagarrer entre eux plutôt que d'étudier. J'étais un des rares a aimer et lire des livres manuscrits. Pour moi, les livres sont des trésors inestimables qu'il faut chérir. En même temps, ils étaient ma seule raison de vivre. Il y avait moi et mes livres. La boisson ne me faisait plus envie, elle m’écœurait plutôt. Il m'arrivait parfois de sortir dehors, mais uniquement pour prendre un peu une bouffée d'air frais et a des heures stratégiques pour croiser le moins de monde possible.
Un des plus grands changement que j'ai eu à subir, était le déménagement forcé de mes parents. Nous sommes passés du confort urbain de la ville à la crasse des bidonvilles. Mes parents n'ayant plus de travail, ne pouvaient plus payer convenablement le loyer, il en fallait donc un moins cher. Mon rythme de vie avait changé du tout au tout. Je ne me suis pas encore habitué à cet environnement, même à l'heure actuelle, mais pour mes parents s'était la descente en enfer. Leur espoirs avaient fini par être anéantis. Rien n'allait plus : pas de travail, pas d'argent, une vie de misérable, pas d'harmonie familiale, entre un fils enfermé H24 dans sa chambre, un mari infidèle, et une épouse hystérique. La folie avait pris possession de toute la famille. A force de rester dans ma chambre, à lire sans cesse, j'ai perdu toute notion du tactile. Mes parents ne pouvaient plus m'approcher, ni même me toucher ni m'embrasser. J'étais devenu un singe savant enfermé dans une cage dorée. Je cherchais à m'évader, mais je ne le pouvait pas. Tout m’empêchais de sortir de ce cercle : mes parents et ma phobie du monde extérieure. Je me suis donc réfugier dans un monde imaginaire, purement fictif, dans lequel je me suis plongé, pour ne plus jamais remonté à la surface.
Chapitre 3 : Mutations et destructions Voilà déjà trois ans qui nous vivions dans ce trou à rat. La vie à "la maison'' devenait de plus en plus insupportable. Je n'arrivais plus à me concentrer sur rien. Les cris de mes parents résonnaient dans ma tête, pas moyen de lire en paix. Alors, la journée, quand le chaos chantait, je sortais dehors, malgré ma peur du monde extérieur. Il m'a fallu beaucoup, mais alors beaucoup de volonté et de courage pour sortir, loin des bourdonnements qui sifflaient dans mon crâne. Je sortais par ma fenêtre de chambre, enjambait la rembarre, descendait l'échelle, et mettait pieds à terre. Je rêvais d'aventures comme dans mes livres, et pour moi faire un pas dehors était une véritable aventure. Je n'avais pas spécialement d'endroit qui me servait de refuge, mais je me posais souvent, sous un pont, longeant étendue d'eau aux couleurs arc en ciel, me rappelant les limonades de mon enfance.
A 13 ans, la vie d'un adolescent est censé être tourmenté avec les changements hormonaux, la crise d'adolescence et la rébellion contre ses propre parents. La mienne avait été plus radicale. Je pensait avec de l'acné sur le visage, de la pilosité sur certaines parties de mon corps, une voix qui mue, comme le décrivent les livres de sciences. Mais rien de tout cela ne s'était produit pour moi, et pour tout les mômes de mon âge, dans les bas quartiers de Dead End. Certaines personnes, à force d'être exposé aux produits toxiques des usines Nevanades, avait subit des transformations. Je parlerais même de mutations. Pour mon cas, la première chose que j'avais remarqué en moi, était la coloration de mon sang, de mes larmes et de ma langue. Ma langue était devenue aussi rose que la limonade à la framboise que je buvais étant jeune. Cette première mutation était encore facile à dissimuler. Mon sang et mes larmes avaient pris des teintes violettes. Aucun de mes livres ne parlaient de tels phénomènes lors de la puberté. A force de traîner près du pont, d'autres mutations étaient apparues. Des marques rouges étaient apparues sur mon corps tout entier. J'avais même remarqué qu'elles brillaient dans l'obscurité. Ces marques étaient difficile à dissimuler aux yeux de mes parents. Mais j'avais réussi à dissimuler ces marques, en ne sortant quasiment jamais de ma chambre, en me rendant dehors, et aussi en évitant de croiser mes pauvres parents dans notre ''maison''. Mais les choses s'étaient compliquées quand mes cheveux d'un châtain très clair avaient pris une teinte turquoise. Mes parents s'en étaient aperçu assez rapidement. Leur vie s'effondrait d'avantage. Leur fils était devenu un Neonuxis, individu rejeté de la société de part leur différence. C'était le début de la décadence.
Mes parents de part mes mutations, m'enfermèrent dans ma chambre à double tour, m'apportant de pauvres ressources alimentaires pour tout de même me laisser survivre. Il avait songer plusieurs fois à mettre fin à mes jours. Pour eux, tout était de ma faute. Il n'aurait jamais vécu ainsi s'ils ne m'avaient pas donné naissance. Le dehors ne m'étais plus accessible, ma fenêtre avait été barricadée. Mais ils en étaient tout bonnement incapable. Me revoilà, replongeant dans mon monde imaginaire, essayant de rêver à des choses douces, belles et agréable, pour ne pas affronter la dure réalité de la vie.
09/05/2032 : Voilà deux ans que je vivais enfermé comme un prisonnier. Mes mutations s'étaient accentuées. Mes yeux verts étaient devenus aussi rouge que le sang. Mon cas ne s'arrangeait pas. Je devenais de plus en plus maigre et de plus en plus pâle. Je ressemblais à un vampire, que l'on retrouvait dans les contes pour jeunes filles, fantasmant de ce faire sucer le sang par ces créatures. Mais à cette date précise, ma vie avait été chamboulée. Comme à mon habitude, je lisais dans ma chambre, et planais dans un univers que moi seul contrôlais. Mes parents drogués et alcooliques, piaillait dans le salon. Soudain, un grand bruit sourd retentit. La porte de ma chambre se brisa en mille morceaux. Des jeunes, des racailles, avaient pris possession du domicile. lls me prirent par le bras en le serrant fortement, me traînant de force dans le salon. A genoux, au sol, mes parents à terre eux aussi, me regardèrent peinés. Ces personnes étaient très puissantes et méchantes. Ils ne fallait surtout pas leur désobéir. Et ça ils l'avaient bien compris. Ils menaçaient mes parents de ne pas bouger sinon c'était la mort assurée pour eux. Ces personnes, de part leur attitude et de leur accoutrement, faisait surement partis des Wolf Bane. Ils n'étaient pas d'humeur joyeuse. Ils me prirent en otage, pour forcer mes parents à les rembourser pour une dette. Je savais que mes parents avaient sombrés très bas, mais pas à ce point là. Aucune émotion n'émanait de mes parents. Ils étaient même près à marchander : ma vie contre leur dettes. Je n'entendait rien ... non ce n'est pas possible ... Mes propres parents me rejetaient eux aussi. Ennuyé par ce deal, les voyous, prirent à malin plaisir à me frapper, à me torturer devant les yeux de mes parents, en argumentant le fait que les personnes dans mon genre sont monstrueuses et répugnante. Cela les amusaient. Je souffrais. Mais personne n'était là pour me venir en aide, pas même mes propres parents. Au bout de plusieurs heures de tortures physiques et mentales, je m'écroulais au sol. Mes parents n'avaient toujours pas changé d'avis. Je saignais de partout. Du violet foncé tachait mes habits et ma peau. Leur petit jeu une fois terminé, les malfrats se sont donné un grand plaisir à abattre mes parents sous mes yeux. Une balle dans le crâne pour chacun d'eux. J'aimais mes parents .... mais ce n'était pas tout. Tout ce qui se trouvait ici devait disparaître et brûler, les corps, les meubles, les vivres ... mes livres. Non !!!! Pas mes livres. Non !!!! Se sont les choses les plus précieuses à mon cœur. Je n'ai rien pu faire pour les stopper, j'étais trop faible. Je ne voulais pas mourir. Je tenais trop à mon monde imaginaire et à mes livres pour mourir dans de telles conditions.
Plus rien. Presque tout avait brûlé. Seuls quelques livres avaient survécus, mais en piteux états. Et le plus surprenant, c'est moi. Comment avais je réussi à ne pas succomber aux flammes ? Un miracle ? Sans doute. A mon réveil, je me trouvais, sous le pont que j'avais l'habitude de fréquenter quand je fuyais de chez moi. Quelques livres étaient là à mes cotés. Mais autre chose d'étrange m'avais interpeller : mes cheveux. Ils avaient blanchis. Pas un seul cheveux turquoise. J'étais dorénavant seul, sous un pont, sans domicile, orphelin, prêt à survivre dans un monde hostile. Noham, jeune Neonuxis âgé de 15 ans, allait affronter ses plus grande peur.
Chapitre 4 : Une apparition Pendant pas mal de temps j'avais erré dans Dead End à la recherche d'eau et de nourriture. De plus, une autre mutation était apparue sur moi, mes ongles ont pris une teinte bleu, donnant l'impression d'avoir les bouts des doigts congelés en permanence. J'avais pris l'habitude de chercher et de récupérer d'anciens livres que les gens ne voulaient plus, dans les poubelles. Dans les bidonvilles, pleins d'antiquités étaient stockées. Je m'y sentais bien, rassuré et en sécurité. Pour stocker toutes ces merveilles il me fallait bien un lieu pour les ranger. Il fallait donc que je trouve un appartement. Tout ceux disponibles étaient en piteux état. Mais peu m'importait. Et pour obtenir un logement, il fallait de l'argent. J'ai donc à partir de mes 16/17 ans commencer à trouver des petits boulots par ci par là. J'ai eu beaucoup de mal, mais j'y arrivais. Mon seul désir était de retrouver un endroit où mes rêves et mon imagination pouvait s'exprimer à nouveau. J'y suis maintenant parvenu mais il m'a fallu un certain temps avant de bien m'installer moi et mes trésors.
Je vivais sans me faire remarquer. J'allais travailler quand je le devais, je rentrais chez moi et me réfugiais dans mes livres. Une vie peu passionnante mais qui me suffisait. Je voulais profiter de ma vie pour m'évader, l'esprit libre. Certes tout le monde répugnait les gens de mon espèce, mais nous étions comme même nombreux dans Dead End. Et le fait d'avoir des cheveux blancs, me distinguais plus des autres. Même les Neonuxis, ne me considéraient pas entièrement comme l'un d'entre eux de part cette particularité capillaire. Je n'étais accepté nulle part, mais je l'avais accepté. Personne ne m'avais accordé le moindre intérêt, pas même mes propres parents. Je pensais souvent à eux.....
De nouveaux gangs se formaient, dont un de mon quartier qui se nommait les Toxic Lights. Ils défendaient notre cause en saccageant les responsables de nos mutations : les usines Nevanades. J'aimais leur façon de faire, mais je préférais les observer de loin plutôt que de participer à leurs actions. Puis, j'en étais à peu près sûr qu'ils ne m'accepteraient pas et que j'aurais eu beaucoup de mal à me fondre dans un groupe de gens. La solitude m'avais gagné, et je m'étais fait avec.
11/04/2038 : Au revoir solitude : Ce soir là comme tout les soirs, je m'étais installé, sur ce qui me servait de canapé, lisant un conte que l'aimais lire étant enfant '' la belle et la bête ". J'avais toujours été fasciné par cette femme qui était tombé amoureuse d'un monstre, au cœur noble. Peu de personnes prennent le temps de scruter l'âme de quelqu'un de repoussant. Je me sentais repoussant. Je me sentais comme un monstre. Devenir ainsi à cause de limonades ne m’enchantais guère. Moi qui lisais depuis mon jeune âge divers livres, j'y retrouvais toujours de l'amour. Je rêvais de le trouver un jour et de le garder rien que pour moi, et personne d'autre. Mais regardez moi !!!! C'était tout bonnement impossible. Mais je vivais de ses rêves après tout. Je savais qu'ils ne pouvaient se réaliser, et je vivais avec fièrement. La fenêtre ouvert, je regardais le paysage qui s'offrais à moi, le vent me fouettant le visage. J'aimais respirer. Mais je m'éternisais jamais longtemps car mes marques rouges scintillaient à cette heure de la nuit, et je ne voulais pas qu'on me remarque. Il se faisait tard, je travaillais le lendemain, je devais finir mon histoire avant d'aller me coucher. Je laissais la fenêtre ouverte, car je la fermais toujours avant de m'endormir. C'était la dernière page qu'il me restait à lire, quand quelque chose, un bruit sourd s'entendait dans mon salon. Je n'ai pas eu le temps de relever la tête de mon livre, quand une main se posa sur ma bouche. Je tournais légèrement la tête. Un homme (
ici ) me faisait signe de me taire. Quelques minutes plus tard, il enleva sa main, se précipita doucement vers la fenêtre pour la fermer. Il revint vers moi me remerciant de lui avoir obéis. Il m'expliqua qu'il était poursuivi et qu'il devait se réfugier quelque part. Désespéré, il vit mes marques rouges scintillantes et le voilà ici. Depuis cette nuit, ma vie n'avait plus été la même.
Chapitre 5 : What is love ? Cet homme du nom de Sacha Frost, était un milicien qui avait pris pour habitude de se cacher chez moi quand les hommes qu'ils suivaient à la trace le repéraient. Pendant longtemps il s'était introduit chez moi. Je n'étais pas convaincu au départ de ces intrusions. Mais il avait quelque chose de rassurant. Il ne me gênais pas tant que ça. Le contact avec lui avait été difficile pour moi. Parler à quelqu'un que je ne connaissais pas. C'était une rude épreuve. Mais plus il passait, et plus je me sentais à l'aise à ses cotés. De plus, la présence des Neonuxis ne le gênait pas. Il ne jugeait pas une personne par son apparence. Les nuits où il ne venait pas, je me sentais comme vide de l'intérieur. Mes livres n'arrivaient pas à distraire quand il n'était pas là. Mais quand il était là, je ne voulais qu'une chose, lui parler, le connaître tout entier. Je lui avais fait découvrir les antiquités, les livres. Ils s'intéressait et s'étonnait de mes passions.
Ces visites devenaient de plus en plus fréquentes. Plusieurs années avaient suivies ainsi. Il me visitait tout les soirs, même en dehors de ces heures de filatures. Rien ne nous laissait indifférent. Nous savions tout l'un de l'autre. Nous étions devenus très proches. J'ai toujours rêvé d'amour, et avec Sacha, j'avais vécu tout ça. Je l'aimais. Je suis tombé amoureux de cet homme, et je l'aime toujours à l'heure actuelle. Ces sensations indescriptibles quand je le voyait, étaient mieux que dans mes rêves. Je ne pensais pas être homosexuel, mais je crois qu'il n'était pas question de ça. L'amour m'était tombé dessus et j'étais très heureux. Mais mes sentiments je les gardait pour moi, je ne voulais pas le décevoir où déclencher un malaise en lui avouant ce que je ressentais.
Une nuit je pris la décision de tout lui avouer. J'avais retrouvé des émotions grâce à lui. Je ressentais à nouveau. J'étais capable d'engager une discussion avec lui, de le toucher, sans en avoir peur et sans éprouver le moindre dégoût. Il était tout. L'amour que je cherchais, celui que je voulais, celui qui me donnais des ailes, celui que j'aimais, et qui n'appartenais qu'à moi. Encore fallait il que je fasse le premier pas. A sa visite, ma confessions fut longue à arriver à cause du stress, mais j'vais fini par tout lui dire. A cet instant, mes lèvres s'étaient collées aux siennes, mes mains s'entrelaçaient, nos corps se faisaient plus qu'un. Ce fut ma plus belle nuit.
Chapitre 6 : Où que tu sois je te retrouverais J'étais l'homme le plus heureux du monde. L'homme que j'aime ma rendu la pareille. Mes journées étaient plus gaies. Je m'évadais moins dans l'imaginaire. Le présent était bien comme il était. Mais ... après cette nuit, je n'ai plus eu la moindre visite de sa part. Que lui était il arrivé ? M'aimait il ? Etait il toujours en vie ? M'avais t-il pris par pitié ? Je ne le savais guère. Mais il était impératif que je le retrouve. Je ne pouvais envisager d'être loin de lui aussi longtemps. Je voulais qu'il soit avec moi à mes cotés. Mais j'avais beau attendre, il ne venait toujours pas.
Depuis, je mène ma vie à le retrouver, en cumulant les aléas de la vie de tout les jours. Je fais la promesse que je te retrouverais, j'en fais le serment.